Catherine Aerts-Wattiez, l'encre comme "mémoire du verbe"

Catherine Aerts-Wattiez, l’encre comme « mémoire du verbe »

Catherine Aerts-Wattiez

Dans une véritable confrontation à la matière, Catherine Aerts-Wattiez n’hésite pas à griffer son support, le papier. L’artiste considère l’encre comme le meilleur moyen de s’exprimer.

Les encres de Catherine Aerts-Wattiez évoquent, suggèrent sans jamais quitter le domaine de l’abstraction. Elles nous font naviguer entre des paysages brumeux et des atmosphères qui traduisent toutes les émotions des plus terribles aux plus douces.

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Alors je me suis tue n°3

Cette oeuvre concrétise les dernières recherches de l’artiste autour du support et de la matière. L’encre de Chine utilisée par Catherine Aerts-Wattiez joue avec la texture du papier, permettant l’apparition d’ombres et de lumière.

A la craie, avec une délicatesse infinie, l’artiste vient simplement déposer ces mots, ses maux : « alors je me suis tue ».

Une pièce qui invite à la contemplation et à la méditation.

Série de Printemps 9

L’encre de Chine et l’acrylique se marient à la perfection pour donner naissance à la Série de Printemps de l’artiste et notamment à cette pièce unique.

Catherine Aerts-Wattiez gratte le papier, le lacère, le scarifie, pour y déposer ses émotions. Par sa maîtrise des techniques, l’artiste met en place un savant jeu de lumières et nous invite à entrer dans la composition en toute intimité, au plus près des tracés.

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